Un flexi-job construit des droits sociaux, comme le droit aux allocations de chômage, à la retraite et aux vacances. En tant qu'employeur vous payez 25% de frais pour cela. En théorie, vous pourriez donc également mettre un salarié ayant un emploi flexi en chômage temporaire. Donc, sauf exception, la loi du 03.07.1978 s'applique également aux contrats de travail flexi-job.
En pratique, un flexi-job ne pourra pas prétendre à un chômage temporaire pour des raisons économiques, puisque le contrat est normalement conclu uniquement quand il y a du travail. Il en va de même pour les extras.
Il serait donc, en règle générale, quelque peu contradictoire de soutenir dans ce contexte qu'il n'y a de toute façon pas de travail et de suspendre l'accord pour cette raison. Cela est contraire à l'intention et au caractère définitif de ce type d'accord. S'il s'agit d'un flexi-job avec un contrat à durée déterminée qui avait déjà commencé plus tôt, le bureau local de l'ONEM peut faire une exception.
Les stagiaires qui suivent une formation en alternance peuvent également être temporairement sans emploi.
Les étudiants ne peuvent pas être temporairement sans emploi tant qu'ils suivent des études complètes (sauf pendant les mois de juillet, août et septembre suivant la fin de leurs études, s'ils sont toujours liés par un contrat étudiant).